Lorsque vos futurs acquéreurs où locataires recherchent un bien, la première démarche qu’ils effectuent est de chercher sur internet, ils passent ensuite environ 60% de leur temps à regarder les photos !
Autant vous dire qu’une photo qui attire l’œil vous permettra de marquer des points auprès de vos futurs clients. En effet, en seulement quelques secondes, votre acheteur pourra avoir un coup de cœur grâce à la 1ère photo votre annonce !
Il est donc particulièrement important de se différencier en utilisant des photographies de qualité professionnelle!
Il est désormais prouvé que cela permet de réduire les délais des vente mais aussi de vendre plus cher. Les grands réseaux d’ agences nationales l’ont bien compris et font désormais appels aux photographes professionnels pour réaliser leurs photographies immobilières.
VENDEZ PLUS VITE, VENDEZ PLUS CHER, VENDEZ MIEUX AVEC DES PHOTOS PROFESSIONNELLES
Ce nouveau reportage photo a été réalisé pour l’agence Foncia de la Baule avec ce logement situé à la Baule Escoublac. Il s’agit d’une habitation récente et moderne et calme car elle est un peu excentrée du centre de la Baule.
Les pièces de vie sont spacieuses et toutes très lumineuses grâce à de grande baies vitrées. L’ espace y est aménagé de façon contemporaine avec une cuisine ouverte et équipée et une pièce de vie ouverte sur le jardin pour profiter des beaux jours.
Retrouver l’ensemble des photographies et plus d’informations directement sur le site internet de l’agence Foncia
Vendez plus vite, vendez plus cher, vendez mieux, tel est l’enjeu des photos professionnelles sur lesquelles les agents immobiliers ne peuvent plus faire l’impasse.
Afin de respecter les demandes de mes clients j’applique une méthode précise et je respecte un cahier des charges très clair lors des étapes de calibrations, prises de vues, traitement des images.
CORRIGER LES PROBLÈME DE DISTORSION GÉOMÉTRIQUE
Ce que l’on voit à l’oeil nu ne se traduit pas toujours dans la photo obtenue, en raison de problèmes optiques engendrés par l’objectif de l’appareil. Lorsque l’on utilise un objectif grand angle, les lignes horizontales et verticales ont l’air recourbées au lieu d’être droites. Cette distorsion est particulièrement visible sur les photos d’architecture. La distorsion en barillet fait gonfler les bords du cadre vers l’extérieur, comme si la photo était enroulée autour d’un cylindre.
La distorsion en coussinet les fait gonfler vers l’intérieur. Ces problèmes sont des distorsions d’ordre géométrique.
Selon le mode de fabrication de l’objectif, il entre parfois moins de lumière sur les bords de cadre plus sombre (vignettage). Parfois, des franges vertes ou violettes s’accrochent aux bords contrastés du sujet. Cette aberration chromatique est engendrée par l’incapacité de l’objectif à faire le point sur les différentes longueurs d’onde de lumière au même endroit sur le capteur de l’appareil. Ce défaut est plus présent sur les objectifs bon marchés, mais même les objectifs haut de gamme peuvent générer ces franges. Heureusement ces artefacts restent relativement facile à corriger en post traitement.
Les logiciels de traitement d’images permettent d’effectuer ces corrections, avec des niveaux fonctionnels très variables selon qu’il s’agit de produits destinés au grand public ou aux experts. Ils combinent souvent des automatismes, d’une efficacité fluctuante, la finesse de paramétrage et le nombre de fonctions distinguant les logiciels les plus professionnels. Ces derniers permettant surtout pour les retouches portant sur la luminosité, le contraste, les couleurs et d’obtenir un résultat presque identique en empruntant différents chemins.
COULEUR ET IMAGE
Dans notre univers numérique, la couleur est omniprésente, mais réserve parfois des surprises douloureuses si elle est mal gérée. Quelques connaissances et quelques outils permettent néanmoins de s’en sortir sans douleur. La démocratisation de l’informatique puis la déferlante de l’image numérique et de l’impression jet d’encre ont mis en évidence l‘importance de la couleur et de la difficulté à faire cohabiter ensemble des périphériques qui composent notre chaîne de l’image.
La gestion des couleurs fait appel à des outils de de mesure et des logiciels. La couleur en tant que telle, ne saurait exister sans la réunion de trois composants: un objet, de la lumière et l’oeil. Le premier est le support de la couleur, le second apporte l’éclairage de l’objet, et l‘oeil qui se charge de retranscrire ces informations au cerveau. La lumière solaire est blanche et elle est composée par toute les couleurs que nous pouvons voir ainsi que celles que nous ne pouvons voir (infrarouge ultraviolet. Les couleurs sont ainsi caractérisées par leurs températures une caractéristique que l’on utilise pour étalonner la lumière. Ainsi plus les couleurs sont chaudes plus la température est basse et réciproquement. Aujourd’hui nous disposons sur nos hybrides et réflexes des dispositifs de contrôle de la balance des blancs et parfois même de la température de couleur.
LES PROFILS D’IMAGES
Une fois codifiées, les couleurs RVB sont définies par des points dans un système de 3 axes qui indiquent leurs trois composantes primaires. Les 3 composantes sont des nombres entiers compris entre 0 et 255 lorsqu’ils sont codés sur un octet. Le rouge est ainsi composé de R 255, V0 et B0 etc…Si à ce stade les choses paraissent simples, elles vont pourtant se compliquer lorsque nous allons tenter de mettre en concordance les différents périphériques qui constituent notre chaîne graphique. Ces périphériques vont du scanner à l’appareil photo en passant inévitablement par l’écran et l’imprimante. Ces outils ne savent malheureusement reproduire ou restituer qu’une gamme limitée de couleur, c’est ce que l’on appel le Gamut. Le gamut définit l’ensemble des couleurs qu’un périphérique est capable de reproduire ainsi que ses limites.
GESTION DES COULEURS
En photographie, quel que soit le domaine, portrait, Mariages, paysages etc….la gestion des couleurs est une étape essentielle. Mon objectif lors des opérations de gestion des couleurs est de faire communiquer l’ensemble de ces différents équipements de la façon la plus harmonieuse et la plus précise possible de sorte qu’une image soit fidèlement affichée sur un moniteur mais également sur un tirage papier.
Dans l’absolu on peut envisager d’utiliser un gamut étendu (Don RGB, Adobe RGB..), pour une image numérique c’est en théorie le meilleur choix. Mais en pratique, rare sont les écrans ou les imprimantes capables de reproduire un tel gamut. Dans les faits, même si cela peut faire débat, je préfère me cantonner à ne pas vouloir dépasser le gamut de mon écran, qui, même calibré ne pourra restituer les images inscrites dans un espace colorimétrique à large Gamut. La situation est identique pour les imprimantes, même si le nombre de couleur des encres ne cessent d’augmenter et d’élargir potentiellement le gamut des machines.
Cela étant dit un fichier codé en sRGB est généralement codé sur 8 bits soit, 16 millions de couleurs (256*256*256). Plus généralement les appareils photo ne proposent un accès qu’à deux espaces colorimétriques: sRGB ou Adobe RGB.
UNE ÉTAPE CLÉ, LA CALIBRATION DES MONITEURS ET PÉRIPHÉRIQUES
Au coeur du système informatique, le moniteur est une pièce maîtresse et demande à être choisi avec le plus grand soin. Sans un écran de qualité, c’est toute la chaîne graphique qui peut être affectée. Pour une utilisation intensive en photographie et en vidéo, j’ai privilégié un écran qui va posséder des caractéristique précises comme la resolution, le taux de contraste, la luminosité ainsi que l’espace colorimétrique qu’il propose et enfin une bonne fidélité des couleurs.
Plus le gamut est large et plus l’espace colorimétrique du moniteur va être important. Mais encore faut il que le moniteur soit capable de restituer les couleurs avec fidélités. C’est pour cela que la calibration du moniteur est une étape indispensable.. Cette étape va permettre de dresser un état des lieux du moniteur en réglant ses paramètres en respectant un protocole précis (luminosité, contraste, température de couleur….) puis en établissant son profil (ICC) qui sera utilisé par le système de gestion des couleurs de l’ordinateur. Sans cette étape le moniteur n’ affichera les images que de façon imprécise. Pour effectuer cette calibration j’utilise un colorimètre de façon régulière sur ces périphériques.
Trop souvent ignoré par la plupart des utilisateurs, le scanner se calibre comme n’importe quel périphérique. Les mesures sont effectuées par la numérisation d’une charte de couleur ou mire. Une fois la charte numérisée , le logiciel se charge de comparer les données recueillies à un fichier de référence puis établit le profil ICC qui sera appliqué par la suite à toute les nouvelles images scannées.
L’imprimante est sans conteste le périphérique le plus délicat à calibrer et demande des solutions plus coûteuses que celle qui sont utilisées pour les écrans. L’outil de mesure est généralement un spectrophotomètre. Le processus est plus long que celui utilisé pour les écrans car il ne faut pas simplement calibrer l’imprimante mais plutôt le couple papier/imprimante.
UNE CHAÎNE GRAPHIQUE RESPECTÉE
Je sais que certains de mes clients vont publier leurs images sur des sites internet mais également sur papier dans des brochures, magazines ou journaux pour certains, il est donc essentiel pour moi de m’assurer que la chaîne graphique est bien respectée et que l’image affichée à l’écran sera la plus proche possible que l’image imprimée sur papier.
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